La Stratégie Carbone, pour qui ? Pourquoi ?
La Stratégie Carbone, pour qui ?
Pourquoi ?
Difficile de s’y retrouver dans cet océan d’informations au sujet du réchauffement climatique n'est ce pas ?
Pas de panique, je vous propose ici une synthèse de la situation climatique et énergétique du début du XXIème siècle qui va vous permettre en une dizaine de minutes, d’aller au fond du sujet et de comprendre les tenants et aboutissants de cette transition que nous devons réaliser.
Commençons sans attendre par répondre à la première question du sujet de cet article.
1. La Stratégie Carbone, pour qui ?
On ne va pas y aller par 4 chemins, pour TOUS !
Et oui, sans surprise, toutes les entreprises, collectivités, événements, de manière générale, toute activité humaine est concernée par la transition principalement à cause de notre besoin en énergie et le type d’énergie que nous consommons pour réaliser ces activités mais également à cause de la manière dont nous occupons l'espace sur la planète. Vous allez découvrir pourquoi dans cet article.
On enchaîne sans plus attendre avec le morceau le plus intéressant.
2. La Stratégie Carbone, pourquoi ?
Je vais tâcher de vous l’expliquer de manière globale, en synthétisant un maximum les informations qui commencent à être conséquentes, pour que seul l’essentiel apparaisse.
Nous devons en effet opérer une transition écologique importante en ce début de XXIème siècle. Les objectifs majeurs sont les suivants :
- sortir progressivement de l’utilisation massive des énergies fossiles, des ressources minières au profit d’énergies renouvelables et de recyclage ou mieux encore de réemploi;
- travailler activement sur la manière dont nous occupons l’espace (en particulier sur la manière dont les sols sont occupés), et par voie de conséquence, sur la manière dont nous habitons cette planète et quels sont les modes de vies qui les accompagnent et qu’il est nécessaire de changer;
2.1. Les énergies fossiles
Oui, une des origines du problème est principalement liée aux énergies fossiles et vous allez comprendre pourquoi dans les 2 prochains paragraphes.
Tout d’abord, faisons un rapide point de situation : statistiquement, la tendance au niveau de la consommation énergétique dans le monde est la suivante (cliquez pour agrandir l'image):
Le bilan est assez simple à analyser, la consommation énergétique ne fait qu’augmenter. On peut même noter que sur la période de 1990 et 2018, la consommation d’énergie au niveau mondial, a progressé d’environ 60%.
On peut noter par ailleurs que la part des énergies fossiles dans la consommation mondiale est d’environ 81% (à mi-2021) et qu’elle représente plus de 13 500 Millions de Tonnes équivalent pétrole (Mtep) par an. Oui, vous avez bien lu, il s’agit bien de 13,5 Milliard de Tonnes équivalent pétrole.
Définition:
La tonne d'équivalent pétrole (tep) représente la quantité d'énergie contenue dans une tonne de pétrole brut, soit 41,868 gigajoules. Cette unité est utilisée pour exprimer dans une unité commune la valeur énergétique des diverses sources d'énergie.
Selon les conventions internationales, une tonne d'équivalent pétrole équivaut par exemple à 1 616 kg de houille, 1 069 m³ de gaz d'Algérie ou 954 kg d'essence moteur.
Pour l'électricité, 1 tep vaut 11,6 MWh.
Source : insee
Pourquoi cet attrait pour les énergies fossiles ?
La force du pétrole c’est son grand pouvoir calorifique et son faible coût. Il faut en brûler relativement “peu” pour émettre une quantité d’énergie assez conséquente. En effet, seulement 1 litre de pétrole est équivalent à 10 kWh d’énergie (soit 10 000 watts pendant 1h). Comme cette énergie ne coûte pas cher, elle est privilégiée dans de nombreux domaines.
A titre de comparaison, un être humain peut produire, en une journée de travail physique, l'équivalent de 1 à 1,5 kWh maximum. Le rapport prix efficacité est absolument imbattable, avec un peu plus d’1 euro, vous avez financé le travail de 10 jours de salaire pour un homme qui travaille physiquement. Comparé à un homme travaillant au SMIC en France, cela représente environ 0,0018% du salaire à payer, pour le même effort in fine. QUI DIT MIEUX ?
Sachant maintenant qu’une seule tonne équivalent pétrole est égale à 11630 kWh et qu'un être humain sur la planète consomme en moyenne au delà de 21000 kWh par an, la quantité d’énergie d’origine fossile que nous utilisons est absolument vertigineuse et le chantier de “transformation” afin d’orienter notre modèle de développement vers un modèle Bas-Carbone durable est sans aucun conteste le plus gros défi que l’humanité ai rencontré jusqu’alors.
2.2. Les stocks
La suite du problème vient de la régénération des stocks. En effet, les énergies fossiles mettent plusieurs centaines de millions d’années à se renouveler (en moyenne 200 millions d’années). Le stock dont nous disposons est par conséquent fini. Mis en parallèle à notre consommation qui ne fait qu’augmenter depuis le début de l'ère industrielle, mathématiquement et tenant compte de notre dépendance à cette ressource, nous allons prochainement faire face à un mur gigantesque, c’est incontournable, sans compter des ressources minières qui s’épuisent, mais de ce côté, chose positive, nous avons déjà beaucoup de solutions, liées au recyclage notamment.
2.3. Le réchauffement climatique
La fin de l’histoire, nous la connaissons, c’est le réchauffement climatique. Bien que les stocks d’énergie fossile soient suffisants pour permettre à l’économie mondiale de continuer d’évoluer pendant plusieurs dizaines d’années, les conséquences d’une telle utilisation massive sont catastrophiques, pour l’environnement et en particulier pour la faune et la flore. Allons un peu plus loin pour examiner les effets de ce réchauffement.
A titre d’exemple concret, depuis plusieurs années, dans la plaine des Vosges (88), région que je connais particulièrement bien, les températures ne sont plus aussi froides en hiver.
Il n'y a donc quasiment plus de neige là où il y a 20 ans seulement, il pouvait y avoir 10 à 30 cm de neige pendant plusieurs semaines.
Les précipitations sont également de plus en plus rares et les périodes de sécheresse en été beaucoup plus longues et intenses. La conséquence est que de plus en plus d’arbres meurent car ils subissent cette pénurie d'eau.
Dans cette zone, le sous-sol étant principalement constitué de roche, ils ne peuvent pas s’implanter profondément (ce qui les rends par ailleurs très fragiles vis-à-vis des tempêtes également - voir ci-dessous où l'on peut observer la proximité de la roche au niveau des racines)
et s’il ne pleut pas régulièrement, (comme il n'y a ne serait-ce qu’une dizaine d’années) ils ne peuvent pas survivre à de si longues périodes d'aridité.
De la même manière, dans cette région, les agriculteurs doivent désormais planter du sorgho car les cultures souffrent de la chaleur et le rendement des autres céréales s’amoindrit d'année en année. Le sorgho n'est autre qu'une plante originaire d’Afrique, habituée aux terres arides dont le système racinaire à la capacité de devenir “dormant” dans les périodes de stress hydrique ce qui lui permet de résister à la sécheresse.
Ce problème, bien que localisé dans les Vosges dans ce cas, n'est qu'un exemple des conséquences du déréglement climatique et met en reflet l'accélération du processus (il est bien entendu que chaque territoire subit ses propres conséquences).
Si nous n’agissons pas à tous les niveaux, nous pourrions voir le thermomètre grimper jusqu’à +4,5° à +5° de température moyenne d’ici la fin du siècle, ce qui correspond à une extinction massive de la quasi totalité des espèces végétales et animales que nous connaissons du fait de cette accélération.
Vous pouvez consulter cet outil pour obtenir une simulation du résultat que cela pourrait provoquer : Climate Change Impact Filter
Certes, le climat évolue avec la planète, et nous avons connu des ères glaciaires très froides par le passé, mais nous sommes bel et bien (et malheureusement) à l’origine d’une accélération dangereuse du processus de réchauffement et c’est cela qu’il est important de bien comprendre.
Vous êtes toujours avec moi ? Alors c’est parti, on plonge au cœur du problème.
3. La planète Terre, un système équilibré
La planète telle que nous la connaissons (avec son écosystème végétal et animal) fonctionne avec un système plutôt équilibré. Chaque année, chaque jour, chaque seconde qui passe, elle est en capacité de séquestrer du CO2 (pour ne parler que du CO2), mais elle en relâche également (les micro-organismes en dégradant la matière végétale par exemple, ou les volcans, c'est un ensemble complexe et bien organisé). La chose positive est que la balance est à l’origine à peu près équilibrée, avec un léger avantage à la séquestration (dépendant des événements exceptionnels comme les éruptions volcaniques par exemple ou autres relâchement de gazs dans l’atmosphère - Il y a donc une partie de gazs fossiles relâchés naturellement, mais globalement, l'équilibre est à peu près stable).
Et c’est là que nous intervenons.
Là où nous faisons pencher dangereusement la balance et où nous provoquons cette accélération et donc ce dérèglement réside dans le fait que nous puisons dans la lithosphère des énergies fossiles (sensées rester sequestrées à cet emplacement) et que nous les brûlons pour nos besoins de développement.
Ces gaz rejetés par la combustion dans nos moteurs, ne peuvent pas être absorbés de manière naturelle, car le système à l’origine est équilibré et n’est donc pas prévu pour absorber d’autres émissions. Sa légère capacité initiale à séquestrer davantage est rapidement saturée et les gazs s’accumulent ainsi dans l’atmosphère afin de créer ce que nous connaissons tous aujourd’hui, l’effet de serre.
Le corollaire qui accentue ce phénomène, c’est que nous avons un impact négatif sur la pompe à carbone naturelle. La santé des océans est largement entamée par la surpêche et la pollution (et donc l’équilibre de la chaîne alimentaire des poissons et en particulier du phytoplancton), et que dire des forêts multi-centenaires, rasées au profit de pâturages pour l’élevage ou autres huiles de palmes. Le réchauffement occasionné provoque par ailleurs un véritable effet boule de neige. Les glaciers, en fondant, relâchent des gazs séquestrés depuis très longtemps de la même manière que la fonte du pergélisol (et sa cargaison de méthane), ce qui risque de s’accompagner, outre l'augmentation du thermomètre, de l’apparition de nouveaux virus et de nouvelle maladie que nous ne connaissons pas encore.
Enfin, l’industrie lourde (ou l'industrie chimique) ajoute à tout cela des gazs très polluants tels que les gazs fluorés. On retrouve dans cette catégorie, différents types de gazs au nom scientifique peu ragoûtant, à savoir:
- hydrofluorocarbures (HFC);
- perfluorocarbures (PFC);
- hexafluorure de soufre (SF6).
Le problème de ces gazs, c’est que leur “poids” (aussi appelé PRG - Potentiel de Réchauffement Global) est très important et qu'ils mettent extrêmement longtemps à se dissoudre dans l’atmosphère. Leur forçage radiatif est très important et leur potentiel à contribuer à l’effet de serre est donc extrêmement élevé.
A titre d’exemple, 1 kg de SF6 est équivalent à 23 900 kg de CO2. Oui vous avez bien lu, l'équivalent de 23,9 Tonne de CO2 pour seulement 1 kg de SF6.
Les PRG des HFC et des PFC ne sont pas en reste avec respectivement de 140 à 11 700 kg et de 6 500 à 9 200 kg.
Revenons à nos moutons, d’un point de vue purement végétal, et animal, cette accélération pose un problème conséquent dans la mesure où il faut une très longue période de temps pour que la végétation et les espèces animales puissent s’adapter à un changement de climat (nous y compris).
Ok, tout cela fait partie d’un ensemble d’événements qui se produisent et que nous pouvons constater, mais concrètement, à quoi cela correspond ?
Voici ci-dessous, à titre d’illustration, la carte de l'Europe il y a 20 000 ans avec seulement -5° de température moyenne par rapport à aujourd’hui (cliquez pour agrandir).
Le problème est précisément ici. Nous sommes en train de nous diriger vers une augmentation de +4 à +5° en seulement 150 à 200 ans, là où il a fallu environ 20 000 ans pour gagner +5°. Inutile d’être un scientifique pour comprendre que nous sommes face à un événement d’une ampleur inimaginable et qu’il est fort probable que rien ni personne ne puisse y résister.
Si l’on imagine donc une extrapolation de la situation ? Oui, nous allons avoir chaud, très très très chaud, nous allons être de plus en plus serrés dans de plus en plus petits espaces de vie (notamment dû à la migration climatique), et nous aurons, par voie de conséquence, certainement très faim aussi. Le pire étant bien entendu l'émergence et la croissance de situations conflictuelles entre les différents pays. N'ayons pas peur des mots, oui, dans le meilleur des cas, c'est une immense guerre civile qui se prépare, dans le pire, une nouvelle guerre mondiale. Il suffit de constater les ravages de la panique dès qu'un événement vient perturber le flux tendu d'approvisionnement des grandes surfaces pour comprendre que la situation sera dramatique.
4. Quelles sont les solutions ?
La bonne nouvelle dans cette situation, c'est que nous avons tous la possibilité d'agir, à nouveau, chaque entreprise, chaque collectivité, chaque service de l'état, chaque personne sur cette planète possède le pouvoir de freiner cette accélération.
Certes, il y a une urgence à agir sur la pompe à carbone et en particulier les puits de carbone ou nous pouvons avoir un impact très positif en changeant notre mode d’occupation des sols et notre manière d’occuper l’espace (j’y reviendrais dans un prochain article), mais ce n’est qu’une seule clé du problème.
La deuxième provient tout simplement des activités économiques anthropiques qui sont en grande majorité basées sur l’exploitation des énergies fossiles et sur un
modèle de fonctionnement court terme, à rentabilité rapide (et doté d'une obsolescence programmée redoutable), qui s’effrite et qui, compte tenu du constat que nous avons entre les mains, va nécessairement
s’effondrer d’ici quelques dizaines d’années.
Bien entendu, le comportement
de chaque être humain n’est pas en reste, on peut parler ici du simple concept de liberté et de la manière de consommer, mais j’y reviendrai également dans un prochain article.
Tenant compte de cet état des lieux, il y a donc une extrême urgence à agir, et chaque activité sur cette planète peut contribuer de manière importante au défi que nous avons à relever.
En fonction de votre activité et de ce que vous réalisez comme projets en parallèle, on peut distinguer 2 typologies d’urgences.
4.1. L'urgence environnementale
Vous produisez, transformez, transportez, exportez, importez, en grande partie grâce à des produits ou matières premières transformées, issus d’énergies fossiles, ou vous en consommez directement, tout simplement, dans ce cas, c’est inévitable, vous émettez beaucoup de GES directement via votre propre activité.
Si vous êtes dans cette situation, l’urgence est environnementale en premier lieu. L’objectif sera ainsi de trouver des solutions permettant à votre activité de rentrer dans un processus de décarbonation qui vous permettra de mettre en place un plan de réduction des émissions le plus rapidement possible.
L’enjeu est également stratégique, de ce point de vue la situation est claire, en consommant directement ou indirectement ces produits ou matières premières,
vous vous exposez à un risque croissant de pénurie de ressources et à l'élévation croissante des prix. Votre activité en subira les conséquences,
c’est physiquement inévitable.
Votre compétitivité sur le marché va quant à elle décroître en permanence si vous ne réagissez pas et si vous n'entrez pas au plus tôt dans une démarche de transformation de votre chaîne de valeur.
La réalisation d’un Bilan Carbone® est une première étape essentielle pour comprendre et mesurer efficacement les postes d’émissions de GES les plus importants et ainsi mettre en place une Stratégie Carbone pour répondre à cet enjeu devenu vital. L’objectif de la démarche est très clair, faire pivoter votre modèle économique le plus tôt possible afin de subir le minimum d’impact si vous êtes dans ce contexte.
4.2. L'urgence stratégique
Si votre activité n’est pas directement liée à l’utilisation d’énergies fossiles, ou que vous n’en utilisez pas une grande quantité (essentiellement déplacements commerciaux, déplacements domiciles-travail, etc..), cela ne veut pas pour autant dire que vous n’êtes pas concerné par la transition.
En effet, en premier lieu, il faut analyser plus précisément le détail de l’exercice du Bilan Carbone®. Afin que cette démarche soit utile et serve les intérêts de votre activité, elle doit être la plus complète possible. A ce titre, afin de matérialiser les risques que votre activité porte vis-à-vis de la transition, la méthode Bilan Carbone® prévoit de prendre en compte une partie des émissions de vos clients et utilisateurs finaux.
Illustrons ce concept par un exemple simple:
Si un de vos clients travaille dans le secteur industriel et qu’il fabrique des avions (au hasard), et bien vous êtes tout simplement censé prendre en charge une partie des émissions de GES liés aux produits / Services que vous vendez à ce clients au prorata de votre implication chez ce client car c’est ce client qui utilise vos services / Produits au quotidien. Et de manière très simple, si il n’y a plus d’avions qui volent, votre service n’existe plus.
L’objectif d’une étude réalisée par Monde Nouveau n’est cependant pas de vous faire porter la responsabilité des émissions de GES de ce client mais de mettre en relief le fait que vous dépendez en partie de son activité, car c’est bel et bien votre client et sans lui, vous ne réaliserez pas le même chiffre d’affaires, vous êtes donc très fortement lié à lui.
Cet exercice peut paraître surprenant mais les résultats d’une telle étude peuvent vous permettre de dévoiler bon nombre de risques sous-estimés jusqu’alors. L’objectif est donc de vous accompagner sur le plan commercial à développer votre offre vers de nouveaux marchés, ou de nouveaux produits afin de minimiser les risques liés aux événements imprévisibles que nous subissons (Le COVID 19 se révèle être un très bon cas pratique à ce sujet).
D’un autre côté, le deuxième point lié à l’aspect stratégique est quant à lui, lié à votre compétitivité. En effet, nous sommes dans une période de transition importante et les places à prendre sont à cette heure encore stratégiques.
Pour résumer simplement les choses, plus tôt vous vous investissez dans cette démarche, plus tôt vous pourrez en tirer pleinement profit. Sans parler de cette action positive liée à la préservation de l’environnement, en développant votre image de marque en ce sens, vous optimisez les chances de développer par la même votre taux de conversion. La raison est simple, nous parlons de l’enjeu majeur du XXIème siècle et le monde entier commence à tourner son regard vers cette montagne.
La transition ne se fera pas d’un claquement de doigts et elle sera longue, c’est certain mais ce qui est certain également, c’est que chaque année nous voyons le nombre d’acteurs engagés croître, et également le nombre de nouvelles activités liées à la transition se développer. Le secteur de l’agriculture est d’ores et déjà de plus en plus sollicité pour la réalisation de Bilans Carbone® et d’ici quelques années, la méthode va se généraliser à tous les secteurs cela ne fait aucun doute sans compter la taxe carbone qui va nécessairement revenir sur le devant de la scène, car c’est un moyen très efficace pour les états de collecter des fonds à destination d’investissements dans la transition énergétique et écologique. Les prévisions sur l’évolution de cette taxe, sont plutôt de l’ordre de l’évolution exponentielle que linéaire, ce qui peut devenir un sujet très sensible, si nous parlons en coût par unité d'œuvre par exemple et impacter directement votre compétitivité une nouvelle fois.
Voilà, nous sommes au bout de cet article, vous disposez désormais d’une vision globale sur ce que l’on appelle le réchauffement climatique, d’où il provient, ce que vous pouvez y faire à votre échelle et quels bénéfices vous pouvez en tirer.
Je concluerais simplement en vous remerciant d’avoir lu cet article, j’espère qu’il vous aura aidé à vous forger une opinion sur ce sujet. A nouveau, il n’y a pas de petits pas pour contribuer au monde de demain que nous devons créer. Nous avons tout à (re)construire, et la chose positive, c’est que ça ne manquera pas d’être intéressant et nous pourrons continuer à profiter encore longtemps de ces magnifiques paysages avec lesquels nous avons la chance de vivre.
Si vous voulez en savoir plus ou savoir comment cette démarche peut s’intégrer à votre activité, laissez moi un message en suivant le lien ci-dessous !
A très bientôt !
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